Comment la FFMI gère-t-elle ses risques ?
Jean-Bertrand Heyral, Délégué Générale chez FFMI nous explique comment la FFMI gère ses risques avec Altares
« Altares nous accompagne dans la gestion du risque client (impayés, défaillances), ce qui permet aux entreprises comme les PME et TPE d’élargir leur terrain de jeu, de se développer à l’aide d’éléments de diagnostic et de maîtriser leur destin sur des enjeux qui vont au-delà de leur domaine de compétence technique du quotidien. »
1. FFMI
Pouvez-vous nous présenter la FFMI ?
Je suis Jean-Bertrand Heyral, je représente la FFMI, qui est la Fédération Française des Métiers de l’Incendie, qui est la principale organisation professionnelle en France représentative des métiers de la sécurité incendie, et qui représente 300 entreprises fédérées autour de 11 familles de métiers spécifiques.
Je suis le délégué général de cette organisation, une sorte de porte-parole, de facilitateur, d’interface entre des entreprises et un ensemble de protagonistes ou partenaires, d’administrations, d’institutions qui nourrissent une relation permettant d’insérer ces entreprises dans un écosystème plus large.
La FFMI regroupe des entreprises industrielles, notamment des fabricants, mais aussi des distributeurs, installateurs et mainteneurs qui assurent la protection des bâtiments contre l’incendie.
Au sein de la FFMI, on retrouve des entreprises regroupées au sein du SYPSI, le Syndicat des Professionnels de la Sécurité Incendie qui sont des PME et des TPE actives dans le domaine de la distribution, de l’installation et de la vérification des systèmes de sécurité incendie, comme par exemple les extincteurs.
2. Défaillances paiement
Pourquoi avoir choisi Altares pour vous accompagner ?
Il est apparu qu’Altares avait une plus-value importante à apporter pour permettre à ces entreprises de mieux s’insérer dans leur univers économique, dans leurs relations clients-fournisseurs, notamment par l’appropriation, l’appréhension des différents outils et systèmes qu’Altares est en mesure de leur apporter pour essayer d’éviter les risques liés à la défaillance de paiement notamment.
Altares nous accompagne dans la gestion du risque client (impayés, défaillances), ce qui permet aux entreprises comme les PME et TPE d’élargir le terrain de jeu, de se développer à l’aide d’éléments de diagnostic et de maîtriser leur destin sur des enjeux qui vont au-delà de leur domaine de compétence technique du quotidien.
Les entreprises ont pris conscience qu’elles ne devaient pas subir les retards et impayés, que ce n’était pas une fatalité, et ainsi d’éviter les impacts négatives sur leurs entreprises qui pouvaient les mettre en réelles difficultés.
3. RISQUES
Quel était la problématique de ces entreprises à laquelle Altares a répondu ?
Les entreprises du SYPSI, comme celles de la FFMI sont exposées à des risques industriels et commerciaux qu’il convient de parfaitement maîtriser. Pour ce faire, elles doivent disposer d’une bonne connaissance de leur écosystème clients et fournisseurs.
Ces entreprises avaient besoin d’être éclairées sur les enjeux portant autour d’un bon management de la gestion du risque client, du risque d’impayé, et une fois le diagnostic posé, d’accéder à des outils leur permettant de renforcer leur connaissance de leur écosystème.
Altares a été convié à intervenir lors de l’assemblée générale du groupement SYPSI, le SYPSI étant dans la FFMI la représentation des entreprises de proximité, c’est-à-dire les installateurs et mainteneurs.
4. RSE
Quels autres enjeux Altares vous permet de maîtriser ?
Les entreprises de la FFMI, comme l’ensemble des entreprises de l’économie française ont une sensibilité accrue pour les enjeux de RSE, notamment la maîtrise des émissions carbonées. En effet, on constate un net durcissement des exigences en particulier environnementales ou liées à la maîtrise des émissions carbonées.
Altares apporte des informations d’entreprises du point de vue légal, financier et de solvabilité, mais également sur les aspects RSE.
Par ailleurs, le lien incendie et le lien risque financier existe puisqu’on sait qu’une entreprise sur trois qui subit un incendie s’en relèvera pas.