Avec plus de 10 000 informations par tiers et un flux de mise à jour important chaque minute, les analyses de KYC ou KYS nécessitent des solutions automatiques permettant aux analystes conformité de se concentrer sur l’analyse des données et non leur collecte.
Données Altares D&B
Le manque de ressources internes en matière de compliance représente un frein considérable à la bonne mise en œuvre des processus anti-corruption (loi Sapin 2 en France) et anti-blanchiment de capitaux et financement du terrorisme (LCB-FT / AML 5). Pourtant, ces processus s’avèrent vitaux dans un contexte où les activités frauduleuses pullulent, profitant du relâchement des entreprises en termes de compliance. Usurpation d’identité d’entreprise pour des activités frauduleuses, arnaques (exemple : fausse vente de masques, de matériel ou prestations sanitaires et de traitements), messages bancaires frauduleux… Intégrer la compliance à l’ensemble de la chaîne de valeur de l’entreprise est l’enjeu crucial des entreprises assujetties.
La clé de l’efficacité réside dans l’intégration de solutions technologiques d’aide à la conformité au sein des modes de production, agrégeant ainsi les savoirs, les compétences et la précision de l’information.
54%* des institutions financières et Corporate estiment que la création d’un nouveau tiers peut prendre entre 3 et 6 jours.
*La recherche pour cette étude a été entreprise par Censuswide, une société de recherche indépendante respectée. Les réponses ont été recueillies auprès de 100 professionnels de la conformité, du droit et des opérations au sein des banques et institutions financières britanniques.