Statistiques défaillances entreprises

Altares propose depuis début 2005 deux cycles d’analyses trimestrielles liés aux échanges économiques :

Pour chacun de ces thèmes, Altares publie chaque trimestre une synthèse et une analyse des évolutions de tendance.

Cover_Bilan 2024
Etudes défaillances et sauvegardes d’entreprises en France

Étude de défaillances et sauvegardes des entreprises en France – T4 et bilan 2023

Panorama général des défaillances d’entreprises en France en 2023

Altares dévoile les chiffres des défaillances d’entreprises en France pour le 4e trimestre et l’ensemble de l’année 2023.

57 729 défaillances en 2023 dont 16 820 au 4e trimestre

La France enregistre l’un des pires 4e trimestres sur 30 ans, mais 2023 reste encore loin des référentiels de crises historiques.

« Bien au-delà des « rattrapages » post Covid, les défaillances liées à la conjoncture ultra tendue s’accélèrent »

Avec 57 729 procédures ouvertes en 2023, le nombre de défaillances est en augmentation de près de 36 % par rapport à 2022. Un taux encore très élevé après la hausse historique (+49 %) de 2022.

Le seul dernier trimestre 2023 illustre encore davantage les difficultés actuelles des acteurs économiques avec 16 800 entreprises en défaut, au plus haut depuis 2012 – 2013. Précédemment, seule la période de récession de 1992 – 1993 avait amené la France à des seuils comparables pour un dernier trimestre. Le pays passait alors pour la première fois de son histoire le cap des 60 000 faillites.

Au regard du contexte inédit de « permacrise » dans lequel les entreprises naviguent depuis 4 ans, les seuils de défaillances, s’ils sont élevés, ne sont pas une surprise

Thierry Millon, directeur des études de la société Altares :

« Après une phase de rattrapage d’une partie des entreprises tenues à flot grâce aux mesures d’accompagnement mises en place depuis la crise Covid, nous amorçons désormais une nouvelle phase, plus structurelle, davantage liée aux insuffisances financières des entreprises qui doivent naviguer dans un environnement économique extraordinairement tendu. Le mauvais chiffre du dernier trimestre de l’année, un des pires sur trente ans, ne saurait s’expliquer par le seul retour d’une action de recouvrement plus habituelle des URSSAF après une longue période accommodante. Certes les assignations ont repris fortement sur cette fin d’année mais toutes les procédures ne sont pas ouvertes à l’initiative des URSSAF.

Activité en berne, niveau d’inflation encore élevé, taux d’intérêt toujours hauts, consommation qui flanche, forment un dangereux cocktail pour des entreprises aux trésoreries épuisées après une succession de crises. Même les plus grands acteurs ne sont pas épargnés, transférant ainsi potentiellement le risque vers leurs fournisseurs et sous-traitants. 171 entreprises d’au moins 100 salariés ont défailli en 2023, c’est 80% de plus qu’en 2022 et un nombre au plus haut depuis 2014 (185 défauts). »

Thierry Millon, directeur des études Altares

Bilan 2023
Défaillances par secteurs

Les activités B2C sont en première ligne sur le front des défauts, mais le B2B est aussi en tension

Construction

Le secteur de la construction concentre 24 % des faillites et compte désormais plus de 14 000 défauts dont près de 11 000 dans les seules activités du bâtiment. 14 112 entrepreneurs ont obtenu l’ouverture d’une procédure, c’est 40,7% de plus sur un an. 10 990 se situaient dans le gros œuvre (4 140 ; + 44,1%) et le second œuvre (6 850 ; + 38,9%). La maçonnerie générale (+2779 ; +50,5 %) et les travaux d’installation électrique (1161 ; +48,3 %) sont les plus impactés.Les travaux publics affichent globalement une hausse un peu moins forte (720 ; +31,1%) mais les travaux de terrassement courants dérapent de 41,2 % (391 défauts). Les agences immobilières enregistrent la pire tendance (910 ; 116,7%)

Commerce

Le commerce dépasse 12 400 défauts (12 408) mais contient la hausse (31,76 %) sous la moyenne générale (+35,8%). Les tendances sont plus sévères dans le commerce de détail d’habillement (1130 ; 51,3%). Le bricolage & équipement du foyer semble mieux résister (928 ; +39,8%) en dépit des tensions relevées dans le meuble (278, +59,8%). Le commerce de gros résiste un peu mieux (2 404 ; +28,4%) sauf dans le textile-habillement dont le nombre de défauts (188) explose de plus de 74%

Services

Dans les services aux entreprises (7 561), la hausse (+36,1%) est en ligne avec la tendance générale. Si le nettoyage de bâtiments (765 ; +52 ;1%) reste mal orienté, les activités de conseil en communication et gestion accusent des évolutions également sévères (1 269 ; +44,2%), notamment en relations publiques (213 ; +57,8%). Les agences de publicité ne sont pas mieux loties (311 défauts ; +58,7%). Dans les activités d’information et communication, les hausses sont voisines de 70% dans l’édition de livres ou la production de programmes pour la télévision. Mais c’est dans les télécommunications (installation de lignes et gestion de réseaux) que les chiffres s’affolent avec une hausse de 155 % pour 79 défauts d’entreprises. Pour les services aux particuliers, les tendances sont moins lourdes que lors des trimestres précédents, toutefois, la hausse est encore rapide pour les coiffeurs (1161 ; 43 %) qui sont probablement à un plus haut historique et les salons de beauté (614 ; 42,5%). A noter la belle résistance des activités d’entretien corporel (saunas, bien-être, instituts d’amaigrissement …) dont le nombre de défauts diminue (159 ; -3,0%). Les pressings (109 ; -0,9%) sont également dans le vert

Industrie

L’industrie juste sous les 4 000 défauts semble un peu mieux résister (+29,2%), portée par les activités de manufacture (2 187 ; + 23,6%) plus que par l’agroalimentaire (1 795 ; +36,6%). L’industrie manufacturière est toutefois fragilisée dans les activités de textile–habillement (225 ; +41,5%). Le secteur agroalimentaire est porté par la boulangerie qui à elle seule compte 1099 défauts mais en augmentation limitée à + 25,7%. En revanche, la transformation et conservation de la viande de boucherie dérape très vite. L’activité enregistre 81 défaillances, un nombre au plus haut sur au moins dix ans, en hausse de 125%.

Transports

Plus de 2 300 transporteurs ont défailli en 2023 soit une hausse de 30,7% inférieure donc à la moyenne générale. La tendance est cependant moins favorable pour le transport routier de marchandises qui compte plus de 1 500 défaillances (+39,7%). La situation s’est fortement dégradée en fin d’année avec une augmentation de 63% tirée par l’interurbain (+71%) plus que par le fret de proximité (+59%).

Restauration

6 449 établissements de restauration ont défailli en 2023, c’est beaucoup mais le rythme ralentit fortement sur un an. Alors que le nombre de défaillances avait doublé en 2022, la hausse est désormais ramenée à +45%. La tendance est même inférieure à la moyenne générale pour la restauration traditionnelle (+35,3%) qui compte 3 347 défauts alors que la restauration rapide accuse une dégradation de +58,5% pour 2 832 établissements. Les débits de boissons (1 138, + 41,7 %) présentent une tendance voisine de celle de la restauration. L’hébergement résiste mieux (380 ; +36,2 %).

PUBLICATIONS

Étude de défaillances et sauvegardes des entreprises en France – T4 et bilan 2023

Altares dévoile les chiffres des défaillances d’entreprises 2023 en France, pour le 4e trimestre et l’ensemble de l’année.

Bilan 2023 Défaillances par régions

Défaillances 2023

PACA

Provence-Alpes-Côte d'Azur

Quatre redressements ou liquidations judicaires sur dix prononcés en Provence-Alpes-Côte-d’Azur l’ont été sur des entreprises des Bouches-du-Rhône. 2 330 entreprises de ce département ont fait défaut en 2023, c’est 39% de plus qu’en 2022.
Les Alpes-Maritimes (+32%) sont en ligne avec la tendance régionale. Le département compte 1 437 défauts, un nombre proche de celui constaté juste avant crise Covid en 2019 (1 410).

Défaillances 2023

AURA

Auvergne-Rhône-Alpes

Le Rhône, qui concentre traditionnellement plus du quart des défaillances, franchit la barre des 1700 défauts comme en 2016. La dégradation est supérieure à la tendance régionale (+42% vs +38%). Le Puy-de-Dôme affiche l’augmentation la plus sévère de la région (+69%) pour plus de 500 défauts. Jamais le département n’a enregistré autant de dépôts de bilan au cours des dix dernières années. 

Défaillances 2023

Nouvelle_Aquitaine

Nouvelle Aquitaine

La région est coupée en deux, la moitié des départements accuse une augmentation du nombre de procédures supérieure à la moyenne régionale (+37%). C’est le cas de la Gironde qui concentre le tiers des défauts de la région et donne donc le ton global. 1620 cessations de paiement (+48%) ont été enregistrées, un nombre au plus haut sur dix ans. Suivent la Corrèze (183 ; +46%) et les Deux-Sèvres (212 : +43%). 

Défaillances 2023

Bourgogne-Franche-Comté

Bourgogne Franche-Comté

Le Territoire de Belfort et le Doubs accusent de très fortes dégradations à, respectivement, +84% (118 défauts) et +75% (376). La Haute-Saône (+50%) est également très au-dessus de la moyenne régionale (+36 %) avec 159 cessations de paiement.
Le Jura et la Côte d’Or s’inscrivent eux-aussi sur une tendance au-delà de la moyenne à respectivement +45% (198) et +40% (403). 

Défaillances 2023

Occitanie

Occitanie

Trois départements accusent une très forte augmentation du nombre d’ouvertures de redressements et liquidations judiciaires, supérieure à +70%. C’est le cas des Hautes-Pyrénées (185 ; +76%), l’Aveyron (161 ; +75%) et la Lozère (40 ; +74%). La Haute-Garonne enregistre 1 267 défauts (+54%), un nombre au plus haut depuis 2015 (1 273). Les Pyrénées-Orientales (551) et le Tarn-et-Garonne (241) enregistrent une dégradation de +43%. 

Défaillances 2023

BRETAGNE

Bretagne

Avec 718 défauts, l’Ille-et-Vilaine enregistre son plus mauvais chiffre depuis 2015 (746). Le département affiche ainsi une dégradation de plus de 46%. Le Finistère (+34%) est en ligne avec la tendance régionale et retrouve un niveau de défauts (529) proche de celui constaté juste avant la crise covid en 2019 (523). Les Côtes-d’Armor (377 défauts) contiennent la hausse juste sous +25%. Le Morbihan signe une double performance ; d’une part le département signe la dégradation (+24%) la moins rapide de la région et d’autre part il conserve un niveau de défauts toujours inférieur à celui de 2019. 

Défaillances 2023

Hauts_de_France

Hauts de France

L’Aisne avait doublé le nombre de ses défauts d’entreprises en 2022 ; la situation se corrige en 2023 avec un fort recul de 18%
pour 287 jugements.
Le Pas-de-Calais contient le nombre de ses cessations de paiement sous le millier limitant la hausse à +25% contre +81%
en 2022.
Le Nord concentre plus de la moitié des défauts de la région. Avec désormais 2 323 cessations de paiement (+33%) le
département retrouve son niveau de 2015 (2327).

Défaillances 2023

Pays_de_la_Loire

Pays de la Loire

Le Maine-et-Loire est le département le plus sous tension (454 ; +49%) devant la Loire-Atlantique (963 ; +43%).
A l’inverse, les trois autres départements contiennent la hausse des défaillances sous 30%.
C’est le cas de la Vendée (431 ; +26%) ou la Sarthe (313 ; +24%). La Mayenne offre la meilleure performance régionale et limite l’augmentation du nombre de cessations de paiement à +20%
(174), très en-dessous de la moyenne des Pays de la Loire (+ 37%).

Défaillances 2023

Grand_Est

Grand Est

Moselle, Bas-Rhin et Ardennes enregistrent les tendances les plus lourdes à respectivement +48%, +49% et +52%. Si le Bas-Rhin retrouve son niveau de défauts de 2018, les deux autres reviennent seulement aux valeurs de 2019. Le Haut-Rhin fait à peine mieux avec une dégradation de 44% et 609 cessations de paiement un plus haut depuis 2017 (640). L’Aube, +36%, est proche de la moyenne régionale et compte 259 redressements ou liquidations judiciaires. La Marne, +32%, est en dessous de la tendance régionale mais avec 459 défauts le département signe un niveau de sinistralité au plus haut sur dix ans. 

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Panorama général des défaillances d'entreprises en France en 2022

42 500 défaillances en 2022 dont 12 256 au 4e trimestre. La France enregistre la plus forte hausse des défaillances jamais connue avec 49,9 % d’ouvertures en plus sur un an. Les PME et les jeunes entreprises en situation de vulnérabilité extrême.

  • 10 000 défauts de moins qu’en 2019 (-18, 5 %) mais l’écart se réduit en fin d’année (-9,3 %).
  • 3 214 PME (jusqu’à 100 salariés) ont défailli (+78,2 %) dont le tiers sur le 4ème trimestre (1 037).
  • Plus de 143 000 emplois sont menacés, soit 3,4 emplois par défaut en moyenne.
  • Les jeunes entreprises sont extrêmement vulnérables (+94,2 %).
  • Restauration, maçonnerie, boulangerie, coiffure et cafés concentrent 20% des défaillances.
  • Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte-D’azur contiennent la hausse sous 40% ; à l’inverse, les Hauts de France dérapent de plus de 77%.
Avec 42 500 procédures ouvertes sur 2022, le nombre de défaillances accuse une hausse exceptionnelle de près de 50 % par rapport à 2021, un taux jamais observé auparavant. Le nombre global de procédures reste toutefois inférieur de 10 000 par rapport aux niveaux de 2019. Si le retour aux normes d’avant Covid s’amorce depuis un an, l’augmentation des défaillances s’accélère de manière alarmante pour les PME dont plus de 3200 ont défailli en 2022 avec le tiers sur le seul 4e trimestre. Dans ces conditions, 143 000 emplois directs sont aujourd’hui menacés.

« Depuis 2020, 103 000 entreprises ont fait défaut contre 162 000 durant les trois années précédentes. 59 000 défaillances ont ainsi été « épargnées » grâce notamment aux dispositifs d’aides publiques déployés pour faire face aux conséquences de la crise sanitaire puis de la guerre en Ukraine.

Pourtant, si le risque a été anesthésié, évitant la déferlante tant redoutée des faillites, les entreprises ne sortent pas indemnes de ces longs mois de turbulences. Entre inflation et crise énergétique, le climat se complique encore et les fonds propres sont mis à contribution.

Or, l’Observatoire du Financement des Entreprises notait dans son rapport de mai 2021 sur les fonds propres des TPE et PME(1) que si l’essentiel de ces entreprises a affrontéla crise avec des situations en fonds propres renforcées avant la Covid, une partie disposait, en revanche, de structures financières très dégradées (un tiers des TPE) ou était insuffisamment capitalisée (20 % des PME analysées). De son côté, la Commission européenne alerte sur le poids excessif de la dette des entreprises non financières de l’Union qui représentait 111 % du PIB des 27 à fin 2020, soit 14 900 milliards d’euros(2). Or, le manque de fonds propres handicapant pour investir et se financer est un signal prépondérant du risque de défaillance. »

Thierry Millon, directeur des études Altares

Notre méthodologie

La défaillance d’entreprise correspond à l’ouverture d’une procédure de sauvegarde, redressement judiciaire ou liquidation judiciaire directe auprès d’un Tribunal de Commerce ou Judiciaire. Cela concerne aussi les ouvertures après résolution du plan de redressement. En revanche, les statistiques de défaillances ne considèrent ni les procédures amiables (mandat ad hoc ou conciliation) ni les suites d’ouverture (arrêt de plan ou conversion en liquidation).

Le jugement prononçant le redressement judiciaire ouvre une période d’observation devant permettre à l’administrateur de dresser le bilan économique et d’élaborer un plan de redressement. La durée de la période d’observation est de 6 mois renouvelable 1 fois, avec une prolongation exceptionnelle de 6 mois à la demande du Ministère public (Procureur de la République), soit au total 18 mois. Ainsi, Altares observe qu’en moyenne 60% des conversions en liquidation judiciaire sont prononcées l’année de l’ouverture du redressement judiciaire et 40 % le sont en année N+1 voire N+2.

A retenir : une défaillance = une ouverture.
Les statistiques Altares de défaillances d’entreprises comptabilisent l’ensemble des entités légales disposant d’un numéro siren (entreprises individuelles, professions libérales, sociétés, associations) et ayant fait l’objet d’un jugement d’ouverture de procédure prononcé par un Tribunal de Commerce ou de Grande Instance. L’existence de ce numéro référentiel est indispensable pour savoir précisément de quelle entreprise il s’agit et pouvoir valider son parcours judiciaire. Sans ce numéro, les identifications seraient approximatives et il serait difficile de s’assurer qu’il s’agit bien d’une ouverture de liquidation plutôt qu’une conversion en liquidation au risque donc de comptabiliser deux fois un même jugement.

Altares collecte ainsi près de 4 000 annonces non sirénées par an. Un traitement spécifique manuel d’identification du siren est réalisé, permettant d’affecter un numéro de siren sur plus de la moitié des annonces. Les autres sont chargées dans la base de données Altares mais ne sont pas retenues dans les statistiques de défaillances.

A retenir : une défaillance = un Siren.
Altares collecte l’ensemble des jugements auprès des greffes des Tribunaux de Commerce de métropole et d’outre-mer. Altares est également licencié officiel du B.O.D.A.C.C. (Bulletin Officiel d’Annonces Civiles et Commerciales) depuis 1987.

A retenir : l’exhaustivité des ouvertures de procédures (et leurs suites) est enregistré.
La date de défaillance retenue par Altares est celle de l’ouverture de la procédure, c’est-à-dire la date du jugement et non pas la date à laquelle ce jugement a été publié dans un journal d’annonces légales ou au B.O.D.A.C.C. Les statistiques diffusées par Altares sont issues de sa propre base de données et comptabilisent les jugements dès leur enregistrement, le plus souvent quelques semaines avant leur publication au B.O.D.A.C.C.

A retenir : la défaillance est comptabilisée en date de jugement et non date de publication.
Les statistiques de défaillances par activité s’appuient sur la nomenclature des activités françaises NAF révisée au 1er janvier 2008. (Voir en annexe la distribution des secteurs d’activité et les codes NAF qui leur sont associés dans les études trimestrielles Altares de défaillances d’entreprises)

A retenir : les activités sont définies par le code NAF.
Les statistiques relatives à l’emploi ou au chiffre d’affaires sont issues de données retraitées par Altares à partir des documents comptables publiés par les entreprises, de sources publiques telles que l’INSEE ou de sources privées.

A retenir : des sources privées Altares peuvent pallier l’absence de documents comptables.

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